2017 l’aura montré, l’hégémonie de l’usage mobile est acquise. Il y a plus de connexions via smartphones que via ordinateurs comptabilisés sur le territoire français (en 2017, sur une base de 100 connexions au total, il y aurait eu 74 connexions en provenance du mobile d’après une étude SRI – UDECAM de février 2018).
En parallèle, les réseaux sociaux aussi ont le vent en poupe. Les Facebook, Youtube, LinkedIn et consorts ont d’ores et déjà démontré le potentiel qui étaient le leur lors des exercices précédents:
> accessibilité budgétaire
> finesse de ciblage
> simplicité d’usage
> segmentation des messages
> local, local, local
>….
Autant de flexibilité qui ont poussé les annonceurs à délaisser les éditeurs traditionnelles le Display classique au détriment de ces plateformes ces dernières années.
Naturellement ces deux tendances (mobile et réseaux sociaux, réseaux sociaux sur mobile pour être exact) se rencontrent. Le phénomène n’est pas nouveau, loin de là. En 2017, 40% des connexions mobiles permettait une consommation réseau social**.
Cependant, le pourcentage d’euros investis sur mobile par rapport au Desktop en 2017 est largement inférieur au pourcentage de connexions via mobile (49% des investissements sur mobile pour 74% des connexions*)
Un indicateur simple qui permet d’affirmer que le fossé va se combler, et que les stratégies mobiles vont se confirmer en 2018.
Et avec elles, comme une évidence la mise en place de dispositifs dédiés Réseaux Sociaux.
Tour d’horizon.
La différence principale entre parcourir les réseaux sociaux sur Desktop et sur mobile réside dans la rapidité de la navigation. Tout est plus rapide sur mobile.
Emerger sur les réseaux sociaux sur mobile c’est tout d’abord privilégier les contenus visuels aux contenus textuels.
La vidéo est un format qui connait un plein essor sur Internet. Optimiser le potentiel de ses vidéos sur les réseaux sociaux passe tout d’abord par l’hébergement des vidéos directement sur les plateformes sociales. Celles-ci privilégient en effet les contenus dits natifs aux liens externes partagés.
L’efficacité du couplage usage et mobile passe par la mise en place de deux règles simples:
> l’anticipation de l’autoplay. Les vidéos se lancent sans que l’internaute ait besoin d’activer la lecture. Cela sous-entend l’intégration PAR DEFAUT de sous-titres dans les vidéos et ainsi la possibilité pour tous les internautes d’en comprendre le sens (l’internaute consulte rarement ses réseaux sociaux avec le son activé sur mobile)
> Sur les réseaux sociaux (hors Youtube), la règle veut qu’une vidéo est considérée comme vue au delà de 3 secondes de visionnage. 3 secondes. Ces 3 secondes sont charnières. elles déterminent si l’internaute va rester et consulter la vidéo, ou si au contraire il va reprendre son surf. Capter l’attention durant au moins 3 secondes, c’est la règle absolue à anticiper lors de la réalisation du contenu vidéo.
Facebook, Twitter, Instagram, … chaque réseau social a son usage, son intérêt pour l’internaute.
Au 4ème trimestre 2017, Facebook comptabilisait 2,13 milliards d’utilisateurs actifs tous supports et 1,85 milliards sur mobile***. Instagram, Snapchat, ces réseaux sociaux sont déterminés pour un usage mobile quasi exclusif.
Les chiffres sont à nouveau suffisamment explicites. Les contenus produits doivent être pensés et adaptés pour mobile.
Publier ses contenus sur les réseaux sociaux nécessite la préparation d’un planning structuré en 2 temps:
> Anticipation de la production/adaptation des contenus sur chacun des réseaux sociaux
> Planning de publication pour chaque réseau social
Cette articulation permet de considérer chaque réseau social pour ce qu’il représente pour la marque et pour les internautes.
Loin de faire dans l’humanitaire, les réseaux sociaux restent très mercantiles dans l’approche de leur Business Model. Dès lors, tout tend à la mise en place systématique de publicités sociales pour alimenter les publications dites organiques.
Dans ce sens, Facebook a mis à jour l’algorithme du réseau de manière à favoriser les contenus « amis » aux contenus « marque ». L’objectif avoué étant de replacer Facebook au centre de l’échange humain, donc au centre de l’intérêt de l’internaute.
Les marques sont alors obligées d’avoir recours à la publicité pour bénéficier du même reach que précédemment. L’internaute y gagne, Facebook aussi ! CQFD.
De manière générale, les plateformes de réseaux sociaux se sont organisés pour proposer une segmentation par défaut des publicités entre Desktop et Mobile.
Certains formats sont hybrides sur les 2 devices, certains formats sont spécifiques au mobile, et certains réseaux sociaux sont spécifiques au mobile, ce qui simplifie encore plus la réflexion.
Lors du paramétrage des campagnes, il est naturellement essentiel de vérifier la lisibilité de la publicité quelquesoit le device pour les formats dits hybrides. Les affichages ne sont pas les mêmes, il est nécessaire d’adapter son message pour trouver le juste compromis.
Il est également tout à fait possible de ne diffuser sa campagne que sur les devices les plus intéressants par rapport à un objectif à atteindre pour son opération.
De la même manière, les performances des campagnes sont également disponibles par device dans le cadre du paramétrage de reporting.
Quel que soit le format (vidéo, native, …), quel que soit le modèle d’achat, les investissements vont tendre vers ce device pour le plus grand plaisir des réseaux sociaux qui restent le ricochet direct de ce nouveau comportement adopté.
En 2018, penser mobile, c’est penser réseaux sociaux.
En 2018, penser réseaux sociaux, c’est penser mobile !
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