Dans sa quête de devenir le moteur de recherche par excellence, Google doit faire face à de nombreuses pratiques pirates.
Ces pratiques, souvent appelées Black Hat, permettent le référencement et l’indexation de pages et sites plus rapides et parfois plus efficaces. Et ceci au détriment de la légalité selon Google.
Il existe un grand nombre de techniques et pratiques, que le moteur détecte, signale et sanctionne. Les plus fréquentes sont celles mettant en jeu le Netlinking, le piratage de sites (ou hack) et le contenu.
C’est d’ailleurs sur cette dernière que le géant américain vient de se prononcer : elle semble plus surveillée qu’on ne l’imagine !
Ceci vient d’être annoncé par Mr Cutts par l’intermédiaire d’une vidéo.
L’ajout d’un grand nombre de pages web au sein d’un site implique, dans la majeure partie des cas, une surveillance manuelle plus accrue des équipes anti-spam de Google !
Ainsi, si vous ajoutez plusieurs milliers de pages web (archives par exemple), ces équipes analyseront tout ce contenu additionnel.
Cela augmente le risque d’être sanctionné, car il est rare que toutes ces pages soient de bonne qualité et par conséquent, cet ajout s’apparente à du spam !
Il est donc important d’effectuer un ajout progressif de pages web au sein d’un site web, pour que le moteur ait le temps de digérer ces informations normalement et que le contrôle des ces pages soit moins strict.
Même si les pages que vous ajoutez constituent le coeur de votre activité, il est important de fragmenter le mise en ligne de pages car dans le cas d’ajouts massifs, tout contenu mis en ligne pourra être assimilé à du spam.
Cependant, et comme bien souvent, nous n’avons pas de chiffrage limite : nous ne savons pas réellement quel est le nombre maximum de pages qu’il est possible d’ajouter sans que cela soit pris pour du spam.
On sait tout de même que Google parle de milliers de pages dans son exemple…
Source : Youtube | Webmaster Help.
+Marc Buchlin est l’auteur de cet article.