Depuis la résolution du bug concernant Google WebmasterTools, Matt Cutts a donné de nouvelles explications au sujet de cet outil Google et plus particulièrement au sujet des messages envoyés.
Nous savons que depuis la mise en place des différents filtres Panda et Pinguin (et Pony ?), près de 700 000 messages ont été envoyés au cours des deux derniers mois.
L’activité bat son plein : webmasters et agences de référencement naturel se doivent d’être connectés à cette plateforme tous les jours !
La dernière déclaration faite pas la tête pensante de la brigade anti-spam du moteur de recherche vise les thématiques abordées par ces emails !
Si vous pensiez qu’il ne s’agissait que de petites informations relevant de bugs : il n’en est rien !
Dans cette vidéo (en anglais), Matt Cutts nous fait savoir que 90% des messages envoyés par l’intermédiaire de Google Webmaster Tools concernent les techniques et pratiques Black Hat du référencement ou seo détectées sur votre site web.
Les pratiques Black Hat sont celles allant clairement à l’encontre des bonnes pratiques prônées par le moteur de recherche.
Elles peuvent être tout à fait efficaces et vous assurer un bon positionnement dans l’index de Google ! Mais soyez sûrs qu’un jour ou l’autre, votre site sera pénalisé et déclassé !
Contourner ou jouer avec l’algorithme du géant américain n’est pas la meilleure chose à faire…
Ainsi, parmi ces 700 000 messages, 630 000 constituaient des avertissement relatifs à des techniques Black Hat détectées (rien que ça) ! Les autres 30 000 relevaient du netlinking du site, à revoir et reconsidérer.
Par l’intermédiaire de cette déclaration, Matt Cutts nous met en garde : il s’agit là d’un avertissement vis-à-vis des pratiques non conformes de référencement de sites web.
Quand on voit que plus de 600 000 messages visent des pratiques Black Hat détectées, nous sommes forcément amenés à nous dire que tout le monde ne joue pas le même jeu sur le web !
Ainsi, restez dans les clous et ne vous faites pas flouer par les agence web…
Source : Search Engine Land
+Marc Buchlin est l’auteur de l’article.
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